LES LABOS, EN CREUX.

Le Labo n’est pas un stage : un intervenant guide les participants en proposant des pistes et autres protocoles d’expérience, mais chacun est libre de suggérer des voies / voix qui lui sont propres, et fortement incité à faire valoir son point de vue ou ses questionnements.

La richesse du labo nait de la multiplicité des points de vue. Chacun repart ensuite avec la liberté de s’approprier les matières explorées, pour les creuser dans le cadre de ses recherches personnelles.

* Pour ces raisons, le Labo n’est pas payant. Les participants ne sont pas payés non plus. Ils prennent en charge leur déplacement, leur logement, et leur repas du matin et du soir. Les repas collectifs du midi sont pris en charge par la compagnie In Vitro.

Le Labo n’est pas une audition déguisée. Il peut générer des affinités électives, des rencontres fructueuses, des envies de collaboration, voire des projets à plusieurs. Mais la compagnie In Vitro n’est en aucun cas à la recherche d’une distribution.

Le Labo n’est pas de la famille de l’action culturelle, ou de l’expérimentation collective soumise à présentation publique. L’idée est de défendre dans le domaine de la création artistique le principe de recherche fondamentale (à ne pas confondre avec la recherche appliquée). Le Labo est donc sans obligation de résultat (si ce n’est de participer à l’enrichissement de tous et de chacun). Le seul rendu sera matérialisé par une trace écrite (voire sonore, ou vidéo) prise en charge par Elise Blaché, en complicité avec tous les protagonistes du Labo.