(Ou comment se définir, avant de déjouer les catégorisations.)
« Si nous sommes des constructions, alors jouons le genre et passons les genres. »
« Au travail on m’appelle Victor. »
« Je me sens pas définissable en ce moment. »
« On m’avait dit, t’es folle, tu vas te faire violer. »
« Tout ce qui tourne autour de l’odeur m’interpelle. »
« Je me demande à quel moment je suis devenue femme. »
« Ma mère a fait un régime pour avoir une fille, j’étais programmée pour être une fille. J’ai détesté les robes à fleur pendant très longtemps. »
« J’adore les chaussures masculines et bien lourdes. »
« Quand j’étais petite, je rêvais d’être blonde aux yeux bleus. »
« Dans consenti, il y a compromis. C’est la formule du mariage. On consent à prendre pour époux… »
« Le vernis fait diversion. »
« Depuis que j’ai 16 ans, j’essaie de pas avoir d’attitudes féminines. »
« Les mots me sont venus simplement. Je dis pas chatte comme ça en vrai. »
« Le soutif me pose vraiment problème, mais je me rends compte que dès que j’en mets pas, on me regarde énormément. Il paraît qu’il y a des cache-tétons, sinon. »
« J’ai commencé à porter la minijupe quand le legging est apparu. »
« J’ai imprimé des pénis à 7h du matin. »